Frau Christine BERNAJUZAN Geboren e BISBAU

Geboren e am 17 Oktober 1948

Verstorbene am Freitag 7 Mai 2021 im Alter von 72 Jahr

ansässige à Paris

Beileidsbekundungen

• bonsoir Guillaume (si je puis vous appeler encore ainsi?)
  merci de m'avoir prévenu et de nous avoir prévenus du décès de votre mère. Je suis très touché; et je suis très peiné. Triste surprise. J'avais une grande admiration pour votre mère. Elle a eu tellement de courage à la mort de Guy, notre ancien élève, votre père. Elle a été vraiment forte. Je ne vous apprends rien. Je garde la lettre qu'elle m'écrivit après son accident cardiaque à Toulon, les excellents soins à l'hôpital de Toulon, puis les soins à l'hôpital Ambroise Paré à Boulogne; "un enfer"! Qu'est-ce que cela a dû être… Elle était très fière de vous et très heureuse de votre réussite. Et voilà que vous me dites qu'elle a été emportée par un arrêt cardiaque subit. J'imagine maintenant votre tristesse et votre peine. On n'a qu'une mère… Et quand la maman meurt, on est bien seul au monde... Bon courage, cher Guillaume; je vous le dis de tout coeur. (par expérience, hélas). Christine m'avait dit ses positions du point de vue religieux. De mon côté, elle connaissait les miennes, bien évidemment. J'admirais sa sincérité, son respect. Ma prière est pour elle avec grande confiance dans notre Pères des Cieux. en célébrant la sainte Messe, je porterai très spécialement cette intention et présenterai aussi son enfant qu'elle laisse; sans oublier Guy, votre père.
  peut-être aurez-vous l'occasion de revenir "au pays"? Si vous avez l'occasion de faire un petit arrêt au monastère, c'est avec beaucoup de plaisir que je vous saluerais et que nous pourrions échanger, si cela ne vous est pas trop pénible, sur votre mère... Encore merci de nous avoir prévenus.
  Recevez mes plus respectueuses salutations,
  frère Marc Doucet, abbaye de Belloc
  mardi 11 mai 2021 à 22h13

• bonsoir Guillaume (si je puis vous appeler encore ainsi?)
  merci de m'avoir prévenu et de nous avoir prévenus du décès de votre mère. Je suis très touché; et je suis très peiné. Triste surprise. J'avais une grande admiration pour votre mère. Elle a eu tellement de courage à la mort de Guy, notre ancien élève, votre père. Elle a été vraiment forte. Je ne vous apprends rien. Je garde la lettre qu'elle m'écrivit après son accident cardiaque à Toulon, les excellents soins à l'hôpital de Toulon, puis les soins à l'hôpital Ambroise Paré à Boulogne; "un enfer"! Qu'est-ce que cela a dû être… Elle était très fière de vous et très heureuse de votre réussite. Et voilà que vous me dites qu'elle a été emportée par un arrêt cardiaque subit. J'imagine maintenant votre tristesse et votre peine. On n'a qu'une mère… Et quand la maman meurt, on est bien seul au monde... Bon courage, cher Guillaume; je vous le dis de tout coeur. (par expérience, hélas). Christine m'avait dit ses positions du point de vue religieux. De mon côté, elle connaissait les miennes, bien évidemment. J'admirais sa sincérité, son respect. Ma prière est pour elle avec grande confiance dans notre Pères des Cieux. en célébrant la sainte Messe, je porterai très spécialement cette intention et présenterai aussi son enfant qu'elle laisse; sans oublier Guy, votre père.
  peut-être aurez-vous l'occasion de revenir "au pays"? Si vous avez l'occasion de faire un petit arrêt au monastère, c'est avec beaucoup de plaisir que je vous saluerais et que nous pourrions échanger, si cela ne vous est pas trop pénible, sur votre mère... Encore merci de nous avoir prévenus.
  Recevez mes plus respectueuses salutations,